-
Le boucher
- Narrated by: Marie-Christine Barrault
- Length: 1 hr and 16 mins
Add to Cart failed.
Please try again later
Add to Wish List failed.
Please try again later
Remove from wishlist failed.
Please try again later
Adding to library failed
Please try again
Follow podcast failed
Please try again
Unfollow podcast failed
Please try again
1 title per month from Audible’s entire catalog of best sellers, and new releases.
Access a growing selection of included Audible Originals, audiobooks and podcasts.
You will get an email reminder before your trial ends.
Your Premium Plus plan is $14.95 a month after 30 day trial. Cancel anytime.
Buy for $12.51
No default payment method selected.
We are sorry. We are not allowed to sell this product with the selected payment method
Pay using card ending in
By confirming your purchase, you agree to Audible's Conditions of Use and Amazon's Privacy Notice. Taxes where applicable.
Publisher's Summary
Dans Le boucher, la chair parle, ses mots s'engouffrent par l'oreille, la font fondre. La chair s'ouvre à tous les sens, antre béant, où la langue fouine. Le sens glisse d'une chair à l'autre, en suivant la lame qui ouvre, découpe, tranche les surfaces et les interdits. Une fois que l'interdit est tombé, toutes les associations, les métonymies, les copulations fantasmatiques et réelles deviennent possibles.
"Dans ma semi-conscience, je me demandais s'il n'allait pas jouir, m'entraîner avec lui, si nous n'allions pas laisser couler notre plaisir avec ce flot de paroles ; et le monde était blanc comme sa blouse, comme la vitrine et comme le lait des hommes et des vaches, comme le gros ventre du boucher, sous lequel se cachait ce qui le faisait parler, parler dans mon cou dès que nous étions tous les deux seuls, et jeunes et chauds comme une île au milieu de la viande froide." (Alina Reyes)
À réserver aux adultes.
"Dans ma semi-conscience, je me demandais s'il n'allait pas jouir, m'entraîner avec lui, si nous n'allions pas laisser couler notre plaisir avec ce flot de paroles ; et le monde était blanc comme sa blouse, comme la vitrine et comme le lait des hommes et des vaches, comme le gros ventre du boucher, sous lequel se cachait ce qui le faisait parler, parler dans mon cou dès que nous étions tous les deux seuls, et jeunes et chauds comme une île au milieu de la viande froide." (Alina Reyes)
À réserver aux adultes.
©1989 Éditions du Seuil (P)1989 Éditions des femmes